Laitue des murailles
Mycelis muralis - (L.) DumortAsteraceae | Milieux rudéralisés
Plante annuelle, haute de 30 à 100 cm, glabre, rameuse dans le haut. Feuilles pennatiséquées, à lobe terminal plus grand, à 3 à 5 angles. Inflorescence en panicule rameuse, divariquée formée de petites capitules à 5 fleurs jaunes ligulées. Akènes d'un beau noir.
Voir la fiche simplifiée Voir la fiche détailléeStatut patrimonial
- Cotation UICN - Rareté régionale :
LC Préoccupation mineure
Rareté départementale
C
Biologie
- Floraison : de juillet à septembre
Ecologie
Tendance nitrophile : forêts, coupes de bois (Atropion), ourlets nitrophiles (Aegopodion, Alliarion), blocs de rochers, vieux murs, pierriers, décombres, alluvions torrentielles.
Etage de végétation
collinéen au subalpin inférieur, maximale 1890m à Sixt.
Répartition
Départementale
La laitue des murs est très fréquente sur l'ensemble du département jusqu'à 1600-1700m.
Première observation départementale
Collectée sur la montagne de Veyrier par Puget en 1855 (Ann).
Herbiers
Ann : 2, G : 20